UPIGO Les actions





Dresden (1999)
• La formation médicale continue
• Mise en route du site upigo.org Ce site régulièrement mis à jour donne de nombreuses informations sur l'UPIGO et contient les comptes-rendus des assemblées générales tenues depuis 1999.

Poznan (2000)
• Le dépistage en gynécologie-obstétrique
• La responsabilité civile professionnelle.


Marrakech (2001)
• Grande enquête sur les conditions d'exercice de la gynécologie obstétrique : diaporama détaillé visible sur le site www.upigo.org
• La couverture sociale de la maternité.


Dakar (2002)
• Les problèmes judiciaires en gynécologie-obstétrique
• Enquête sur la pratique de la gynécologie-obstétrique en Afrique de l'Ouest et du Centre.

Bratislava (2003)
• Le rôle des organisations professionnelles dans la formation continue des équipes obstétricales
• La mortalité maternelle : premiers résultats de l'enquête de l'UPIGO.

Berlin (2004)
• La pratique privée en gynécologie-obstétrique
• La responsabilité
• Suite au rapport de synthèse sur la mortalité maternelle, l'UPIGO décide de s'engager pour sensibiliser l'opinion publique et combattre ce terrible fléau.

A Strasbourg au Conseil de l'Europe
Depuis plusieurs années l'UPIGO est officiellement reconnue auprès du Conseil de l'Europe comme OING (Organisation internationale non gouvernementale) et bénéficie actuellement d'un statut participatif.
D'abord représentée par Claude COLETTE, l'UPIGO est représentée au Conseil de l'Europe depuis 1999 par son secrétaire général, Guy SCHLAEDER.
En collaboration avec 8 autres OING, l'UPIGO a plaidé en faveur d’une politique de la santé sexuelle devant la Commission des Questions Sociales, de la Santé et de la Famille. On a insisté sur la nécessité de commencer l'éducation sexuelle chez les jeunes enfants.
“Les problèmes de maladies sexuellement transmises, de grossesses non désirées ou de diverses dysfonctions sexuelles se manifestant parfois dès l’adolescence, il est indispensable de commencer l’éducation à la sexualité et à la vie amoureuse tôt chez le jeune enfant. Il est important de se baser entre autres sur les travaux mondialement connus du suisse Piaget qui ont apporté un éclairage primordial sur le développement de l’enfant.
La personne de l’enfant est un tout qu’il faut respecter. Lors de l’éducation, il faut respecter l’intimité de l’enfant. Les divers intervenants dans l’éducation à la sexualité devront préserver la confidentialité des dialogues échangés avec les enfants.
Cela explique pourquoi la famille et l’école ont des limites dans leur action éducative en matière de sexualité. Il est important que des intervenants extérieurs compétents (professionnels de santé ou éducateurs de jeunes) puissent contribuer à l’éducation à la sexualité et à la vie amoureuse.
L’éducation n’est pas seulement destinée à éviter les dégâts d’une sexualité dysfonctionnelle. Cette éducation doit faciliter la sexualité physiologique. Une sexualité équilibrée est une formidable occasion d’épanouissement, de bonheur individuel et social”.
Les membres du sous-groupe ”santé-sexualité” des OING faisant partie du regroupement “Santé” du Conseil de l’Europe étaient :
• Roger BEAUFILS, FAI Fédération Abolitionniste Internationale
• Jean BRUNAULT, Eurotalent
• Sylvie COLLE, MIAMSI Mouvement International d’Apostolat en Milieux Sociaux Indépendants
• Christian COLPAERT, AEEMA Association Européenne pour l’ Education aux Milieux Audio - visuels
• Neil DATTA, IPPF-EN International Planned Parenthood Federation-European Network
• Chantal HUEBER, FIEF Fédération Internationale pour l’Economie Familiale
• Joachim JOSCH, UEPMD Union Européenne des Praticiens en Médecine Dentaire
• Georges Bernard KRANTZ, UIGSE Union Internationale des Guides et Scouts d’Europe
• Prof. Guy SCHLAEDER, Secrétaire Général d’UPIGO, Union Professionnelle Internationale de Gynécologie et Obstétrique, et coordinateur du sous-groupe “santé - sexualité”.
Le 5 Octobre 2004 l’Assemblée Parlementaire approuva le rapport de Christine Mc Cafferty, députée du Royaume-Uni, et transmit ses recommandations au Comité des Ministres de la “Grande Europe”, comprenant actuellement 46 pays.
Le travail des OING fut apprécié. Mr. GLASSENER, Président de la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille, les remercia chaleureusement devant l'Assemblée Parlementaire